@inbook{10.2307/j.ctt9qdwbf.4, ISBN = {9789058679703}, URL = {http://www.jstor.org/stable/j.ctt9qdwbf.4}, abstract = {Lorsqu’on cherche à situer l’origine de la Providence divine, on se heurte à de nombreuses difficultés, la plus importante étant le sens qu’on devrait accorder à cette notion. Déjà l’origine latine du terme, lié davantage à la vision (prévoir, prévision, prévoyance...), perturbe la problématique grecque de la πρόνοία, liée à l’intellect, l’intelligence, la pensée, — terme plus rarement utilisé à l’époque romaine, sauf parfois sous le forme infléchiepraecogito.¹ Platon utilise les deux expressions verbales, mais dans un sens proche, avec des nuances différentes: προνοείσθαί (préméditer, prédélibérer) et προοράν (prévoir l’avenir). Dans leCratyle(395c), il associe les deux termes par}, author = {Lambros Couloubaritsis}, booktitle = {Fate, Providence and Moral Responsibility in Ancient, Medieval and Early Modern Thought: Studies in Honour of Carlos Steel}, pages = {3--22}, publisher = {Leuven University Press}, title = {ÉMERGENCE DE LA THÉMATIQUE DE LA PROVIDENCE DIVINE DE DIOGÈNE D’APOLLONIE À PLATON}, volume = {49}, year = {2014} }